- Don, tu es sûr que le commandeur n'est pas là ? Je dois lui parler de toute urgence !
- Non son pégase est aux parcs depuis 2 lunes et refusent d'être approché, quand au commandeur, on ne sait pas où il est.
-Bon si tu le dis, ... Je ne peu pas lui laisser de parchemin ?, demanda le visiteur au gardien devant l'aile réservé au gouverneur,
- Non Bès, personne ne doit entrer pendant son absence. Jamais, tu devrais le savoir tu était encore a ce poste ci la semaine dernière.
- Je sais, je sais Don, mais ce que le gouverneur ignore ne peut nous faire de mal.
- Mais il parait que lors de l'ouverture de ses appartements, le commandeur est prévenu et peut arrivé en un clein d'œil.
- Ah ! Tu vois tu commence a comprendre, je veus juste ouvrir la porte, sa disparition m'inquiète de plus en plus.
- Bon bon vas-y Bès, mais tu l'ouvre tu jette un oeil et tu reviens c'est tout.
- d'accord merci Don.
Alors le dénommé Bès tourna la poignée de la porte, le silence faisait devenir le battement de leur sang à leurs tempes assourdissant. Avant de pousser sur le battant, il jeta un rapide coup d'œil a son ami et devant l'absence de réaction de Don, il poussa plus fort que ce qu'il aurait voulu la porte. Elle s'ouvrit en grand comme si il avait donné un coup d'épaule.
Au milieu de la pièce assit sur un fauteuil, Aedius leva les yeux :
Et bien, je commençais a en avoir marre des rations de campagne et de ce mauvais vin, que se passe-t-il ?
Les deux hommes à la porte n'osèrent pas se regarder, leur commandant semblait avoir juste attendu qu'on ait besoin de lui ...
Et bien, sir ...
une fois le problème exposé, Aedius se leva et alla s'occuper de son petit royaume aérien qu'il avait un peu délaissé.
*Ce fut un bon test, malgrès tout un peu douloureux*
--> la machinerie (l'homme aux IvY)