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| Concours [récit] n°1 : Récits | |
| | Auteur | Message |
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Tynian
Nombre de messages : 136 Age : 38 Classe : Chevalier Noir Date d'inscription : 09/02/2007
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| Sujet: Concours [récit] n°1 : Récits Jeu 26 Avr - 12:16 | |
| Réçit n°1 : Background Ensorceleurs Prologue : A l'arriver de l'homme sur nos terres ancestrales, les peulpes n'etaient que de pauvres fermiers en quete de patures, colonisant peu a peu ce qui deviendra les Grand Duchets. Avec la sedentarisation, les peuples, portés par un desir d'indetification; voulurent se demarquer les uns des autres. De par leurs espacements et la difference de leurs milieux, les peuples prirent des chemins divergeants. C'est la que l'histoire des Esorceleurs commence... Chronique I : Le lanceur de sorts :
Durant ces temps la, les mage de la tour connaissaient deja la magie et convoitait les terre de Sanit Aria. Les bataille etait gagnées de peu par la milice de Parla Jen, le port fortifié de Sanit Aria. Les voyageurs du nord, en commerce avec le port aidaient par la voie maritime les deffenseurs. Un jour, une barque acosta sur une plage a l'est et l'homme qui en sortit etait vetu d'une cape noire. Il etait grand et fin. Arrivant a Sanit, la capitale, il demanda un audience au Grand Duc en pronant la paix et la rosperité pour le peuple de Sanit Aria. L'ile ayant deja subie bien des pertes et qui commencait a subir de nombreuses attaques repetitives, son Duc accepta. L'inconnu n'eut meme pas le temps d'entrer dans la salle d'audience que la cloche du palais resonna. Un garde qui passait informa d'une nouvelle attaque par la mer, mais cette fois ci, les marchants etaient trop loin pour agir. L'homme entra dans la salle et demanda au duc la permition de les aider. Il alla au front et demanda expressment aux soldat de rester en arriere. "La mer se couvrit alors de flammes et les navires ne purent approcher les cotes" Ce fut la victoire la plus rapide de l'histoire de Sanit Aria. De retour au palais, l'homme fut immediatement mis aux fers dans les cachot du Duc. Lorsque le maitre des lieus vint lui meme le voir, l'inconnu demanda la raison de son emprisonnement. Un conseiller lui expliqua qu'il utilisait la meme arme que leurs ennemis de la tour, les mages. L'inconnu sortit alors de sa cape deux fioles rouges, il prononcea les mots suivants, garavés dans une stele de la salle du haut conseil : " La magie est un art chez l'homme mais un don dans le sang de dragons" Le Duc fut intrigué de ces paroleset demanda des explications, ce qui fut fait : les magiciens puisent leur magie dans le travail de leurs ame. Cela demande beaucoup de travail et de perseverace, pour un resultat souvent decevant si non experimenté, mais la magie est presente au coeur meme de certaine creatures nobles, comme les dragons. Ces fioles contiennent du sang de dragon et c'est en le melangeant au sien qu'un homme acquiert les pouvoirs des arcanes.Le duc, mefiant lui demanda comment il avait reussit, avec la carrure de l'inconnu, a recupéré du sang de dragon. L'homme se leva et enleva sa cape. Il montra alors les nombreuses cicatrice qu'il arborait. Il explica alors qu'apres une parade nuptiale, le male mord violemment sa compagne pour la maintenir, c'est a ce moment, avec beaucoup de malice, qu'il reussit a recuperer du sang, mais la replique fut immediate, il fut largement bléssé et un des fiole se brissa dans sa poche se melangeant au sien. Grace a cela il put survivre et cherchant une terre d'asile, pensea a Sanit Aria. Le Duc fut alors tres interréssé et libera l'inconnu, il lui demanda de versé une goute de chaque fiole dans les veine de l'homme pour lui prouver que ce n'etait pas du poison ce qui fut fait. L'homme fut alors promus au titre de Dragoon le lanceur de sort.
Chronique II : La lignée de l'élu :
Le Duc et sa femme ayant herité des fioles et le melange des castes faisant son chemin, pretiquement toute la population pratiquait la magie, on les appellera les Ensorceleurs... Ces derniers n'apprennent pas leurs sort mais les decouvrent suivant leurs ages et leurs competences. Sanit Aria entra alors dans une periode prospère ponctuée par des alliance dans des conquetes de duchets.
Les descendants des Ducs gouvernaient Sanit Aria lorsque une famille revendiquait la place de tete de la terre des ensoceleurs. Cette famille n'etait autre que les descendants du Dragoon... Il se nomerent eux meme et par consecance les Dragoons. Pronant leurs sang plus pur, issus d'une philosophie eugemique. Leurs voix n'atteignant pas le Duc alors en place, ils deciderent de prendre le duchet par la force. Leur puissance etait considerable et en mois d'un jour, reussir a renverser le Duc. La dynastie des Dragoons commencea alors. Il deciderent d'adopter une tout autre politique de la magie en commenceant par rasser le vieu port, Parla Jen, et par en reconstruire un nouveau, pouvant accueillir plus de bateaux de commerce. L'ile fut rebaptisée Santaria et le nouveau port pris ce nom aussi. De nombreux batiment fut construit, comme la tour de combat ou encore la place du conseil, destinée au depart au gouvernement de Santaria. Le palais des anciens Ducs pris une nouvelle fonction, celle d'ecole : le manoir des enchantements. Malgres le renversement, les Dragoon donnerent une place prepoderante a l'histoire de l'ile, ne bafouant pas la periode des Ducs. C'est grace a la dynastie des Dragoons que la ville possede une des plus grandes bibliotheques et un temple empli de ferveur. De nombreuses steles fut erigées, contant les peripecies passées. Santaria devint alors la terre de la magie, visitée et apreciée par kles autre duchets alliés.
Chronique III : La guerre de la nuit et le titre de haut conseiller :
" Quand la noirceur devien lumiere, comment lui tourner le dos. La lune eclairera nos pas et ensemble, nous donnerons au monde un nouveau souffle."
Telles fut les dire du dernier Dragoon. Il venait de signer de son sang et le peuple des ensorceleurs allait dorenavant combattre au coté du roi des tenebres. Leur reseau de couverture issue d'une longue confiance envers des autre duchet fut tres apreciés du roi maudit. Les raisons du revers de cape, oubliées aujourd'hui sont, dit on, relaté dans un grimoir caché au plus profond de la place du conseil.
La guerre achevée, les ensoceleurs connurent leur premiere defaite depuis le premeir Dragoon, et le dernier du nom fut tué durant une bataille. Obligés et contraint d'accepter les conditions, un hautconseiller devait etre mis en place. La place fut tres convoitée et seul le plus fort des ensorceleurs put la prendre. Depuis, cette place n'est pas heritée mais gagnée, ce qui engendre de nombreuses batailles internes.
Depuis le nouveau regime et la mise en place de l'imperatrice, la fierté de Santaria envers son histoire c'est un peu tarie et de nombreux livres ont été oubliés dans les meandres de la place du conseil... | |
| | | Tynian
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| Sujet: Re: Concours [récit] n°1 : Récits Jeu 26 Avr - 12:19 | |
| Réçit N°2 : Background Magiciens.
Sydel Del Elta... tel est le nom de la fondatrice de l'ordre des magiciens. Une ne peut pas dire que la vie de cette charmante femme ai été de tout repos... bien au contraire...
Sydel est née dans une noble famille de chevaliers... le problème étant que Sydel était faible de constitution et donc dans l'impossibilité physique de rendre hommage à cette tradition familiale qui faisait que les Del Elta étaient tous de preux et fiers chevaliers. Pire encore, elle tournait sans cesse en dérision cette vision de la vie qui faisait que tout était blanc ou noir, les notions d'honneur exacerbé et les tactiques de combat un peu farfelue des chevaliers... enfin, bref. Donc, Sydel restait au manoir familial et en deux ans et 4 mois, tout les livres de la bibliothèques n'avaient plus aucuns secrets pour elle et elle avait même réussi à démontrer que certaines suppositions fondamentales étaient erronées par force d'espériences en tout genre. Le jour de ses 18 ans, la jeune Sydel surprit une conversation entre son père et le noble chevalier voisin... un certain Lorien Von Haltel. Poussée par son sentiment de curiosité habituel, Sydel décida d'espionner un peu...
- Vous accorder la main de ma fille ? Vous n'y penser pas sérieusement, voyons... Sydel ne ferait que vous abreuver de sarcasmes à longueur de journée ! Vous ne pourriez pas le supporter !
Sydel écouta, de plus en plus intéressée... mais ayant tout de même l'esprit de préparer sa fuite en même temps qu'elle écoutait aux portes... Il était hors de question qu'elle ce marie avec Lorien... Elle entendit alors la voix douce de ce dernier répliquer :
-Il suffit de la "dresser" un peu, je suis sûre qu'une si jolie fille n'est pas vraiment telle que vous me le décrivez...
Sydel retint un rire froid... C'était la preuve que Lorien ne la connaissait pas du tout...
- Eh bien... puisque vous insistez, je... - Il n'a pas eu a insister longtemps, je trouve, Père.
Elle n'avait pas pu se retenir. Debout, à l'entrée de la pièce, elle avait parlé d'une voix froide et sarcastique... Ses yeux jetaient des éclairs aux deux nobles chevaliers tranquillement assis dans leurs fauteuils en velour. Elle posa alors ses yeux sur Lorien, et lui dit fraîchement :
- Je ne suis point un animal que vous pourriez vous complaire à "dresser", messire Lorien Von Haltel. Sans compter que vos manières ne sont pas vraiment dignes d'un chevalier... Que de lacheté avez vous fait preuve pour demander ma main à mon père avant même de m'en parler... - Ma Dame, je ne saurait... - Assez ! Il est hors de question qu'une telle chose se produise.
Et sans même qu'ils n'aient eu le temps de faire quoi que ce soit, la furieuse Sydel, sortit de la pièce et ferma la porte à clé... Elle sortit du manoir et alla droit aux écuries. Elle fit fuir tout les chevaux (même celui de Lorien) sauf un, qu'elle prit comme monture. Alors qu'elle s'éloignait dans la plaine, les deux hommes avaient défoncé la porte et regardèrent Sydel s'en aller alors qu'elle était déjà au loin.
Le soir commençait déjà à tomber alors que Sydel avait parcourue pas mal de lieues déjà... L'étendu verte de la plaine ne s'étendait plus à l'infinie... au nord et au sud, deux forêts délimitaient le territoire des chevaliers et elle sut alors que si elle continuait ainsi pendant deux jours, elle arriverait en Artésie mais rien que l'idée d'un voyage de deux jours à travers la plaine ne serait pas de tout repos sans compter que des bandit se planquait dans les hautes herbes... enfin, c'est ce que disaient les rumeurs. Sydel décida de camper pour la nuit qu'and elle L'aperçut... Non loin de la forêt au nord, entourée d'une douve, une immense tour de pierre noire était érigée, comme un défi au ciel. La curiosité l'emportant encore, Sydel s'approcha de la tour apparement déserte. Quand elle arriva à la base, les premières étoiles commençaient à apparaître dans le ciel. La seule entrée était un pont levis... pont levis qui était levée, donc, l'interieur de l'édifice était inaccessible. Elle fit le tour, détaillant toutes les scuplture qui ornaient les mur du bâtiment. Elle n'avait jamais vu une telle précision, une telle beauté... ce n'était forcément pas un construction humaine... il était impensable même qu'elle soit elfique ou drow. Elle pensa alors ironiquement que si cette tour n'appartenait à personne, elle devait être aux esprits. De retour devant la porte elle pensa tout haut :
- La Tour Divine, ça te plait comme nom ?
Parler à une tour... fallait le faire, tout de même... elle ne s'attendait pas à la réponse dont la tour la gratifia... Des torches éteintes apposées aux murs s'allumèrent alors d'un seul coup. La tour qui était d'un noir terne se mit alors à luire, comme si elle avait été d'un coup lavée à l'eau et le pont levis s'abaissa alors. Sans un bruit. Sydel croyait rêver mais une fois le pont posé devant elle, elle n'eu pas d'autre choix que de répondre à l'invitation du batiment. Elle entra et entendit ses pas résonner sur le bois sec du pont. Quand elle entra alors dans le hall complètement en marbre, Sydel était ébahie. Derrière elle le pont s'était refermé, mais elle s'en fichait complètement...
- Mais qu'est ce que tu raconte ! J'ai rien entendu moi ! - Mais puisque je t'ai dit que le pont a bougé !
Sydel n'en revenait pas, il y avait des gens dans la tour ! Les voix venaient du premier... mais il n'y avait pas d'escaliers...
- Tu voit ! Je te l'avais bien dit ! - Que fait cette jeune femme ici ?
Sydel fit volte face et se retrouva face à deux fantômes... elle faillit tomber dans les pommes, mais elle se retint tout juste à un mur.
- Qui... qui êtes-vous ? - Moi c'est Hikari ! - Et moi Séluné... mais vous... que faites vous ici ? - Ben... voilà...
Sydel leur raconta tout. Sans vraiment savoir pourquoi, mais elle leur raconta tout. Son enfance, Lorien, sa fuite,...
-Séluné ! Sa suffit ! Arrête de la manipuler ! - Si je ne l'avait pas fait, elle n'aurait rien dit ! - Bon, eh bien... bienvenue dans la Tour Divine, Dame Sydel ! Vous pouvez rester tant que vous voulez ! On peut même vous apprendre deux ou trois trucs...
Ainsi commença la formation de la jeune femme aux sciences des Arcanes et de la théologie. Durant 3 ans, elle appris ce que les deux esprit avaient à lui apprendre... elle avait lu à peine une fraction des livres de l'immense bibliothèque... Mais un jour, les chevaliers trouvèrent la Tour. Sydel étudiait alors les force élémentales de la foudre. Les chevaliers, intrigués par le batiments, tentèrent de faire sauter le pont levis qui était fermé. Pont levis qui était ensorcelé de façon à ne jamais pouvoir briser... Au bout de 4 heures de bruits incessant, Sydel en eu assez. Elle descendit et demanda poliment au pont de s'ouvrir... ce qui fut fait devant les yeux ébahis des chevaliers. D'ailleurs, ils étaient dirigés par quelqu'un à l'air familier... Lorien.
- Partez d'ici. Cet endroit ne vous appartient pas. - Sydel ? Rentrons à la maison ! Tu nous as tellement manqués ! - Non. Je n'ai rien à faire chez les chevaliers. Partez et n'oubliez pas ceci... quiconque qui mettra les pieds dans la tour sans en avoir été invité par un de ses occupants ou par la Tour elle-même sera foudroyé. J'y veillerai personnelement.
Les chevaliers étaient sceptique et Lorien ne croyait pas en la mise en garde de Sydel. Il passa le pont mais quand il voulut prendre Sydel par le bras, un éclair jaillit du ciel et frappa pile à l'endroit ou Lorien était quelques instants plus tôt... Au milieu du pont, il avait fait un bond en arrière dès qu'il avait comprit que les menaces de Sydel étaient vraies.
- Dites-le... propagez la nouvelle... dites aussi que cette tour accueillera quiconque voudra étudier le savoir des esprits et des Arcanes. J'annonce officiellement aujourd'hui la création de l'ordre des magiciens !
Sydel fit alors demi-tour et la porte se referma derrière elle. Elle n'avait fait que répéter ce que les deux esprits lui avaient soufflé à l'oreille. Ils donnèrent à leur protégée le titre de maître des Arcanes et lui conférèrent le droit d'apprendre à tout ceux qui le voudraient tout le savoir qui était dans la Tour. Les chevaliers, qui changèrent peu après de nom pour devenir des Paladins, n'eurent pas d'autre choix que de répendre ce que Sydel leur avait dit... comme si ils était poussés par une force extérieure de le faire. Des personnes de divers horizons affluèrent alors vers l'edifice et les magiciens furent ainsi crées. | |
| | | Tynian
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| Sujet: Re: Concours [récit] n°1 : Récits Jeu 26 Avr - 12:27 | |
| Réçit N° 3 : Background Paladins. Comment fut fondé l'ordre des Paladin , d'après Histoire et Légendes des Royaumes perdus.
Prologue : comment fut fondé l'ordre des chevaliers.
A l'aube des temps existaient différentes tribues différents clans s'étant approprié des territoires , elles se battaient afin de protéger leur terres ou de conquérir les terres plus fertiles de la tribue voisine. Ces guerres décimèrent longtemps les peuples du Sud du continent central ou les premiers humains étaient apparus. Ces guerres les empechaient d'évoluer , pourtant le progres est implacable ... lentement les tribues s'unirent et prospérèrent jusqu'à l'époque ou un seul clan eut gagné la domination de tout le Sud du continent jusqu'aux montagnes.
Cette réunification avait été difficile, beaucoup de sang avait coulé et sans les efforts d' Artheas elle n'aurait probablement jamais eu lieu !
Ainsi les peuples du Sud étaient réunis sous la bannière d'Artheas mais ce peuple guerrier se rendit alors compte que hors de leur domaines d'autres peuples avaient prospéré et pour certains par des voies différentes.
Les guerriers du Sud se mirent alors à fréquenter les autres peuples et s'ouvrirent au commerçe ... au fur et à mesure que le temps s'écoulait ils perdirent de leur barbarie , ils s'amélirèrent dans de nombreux domaines sans toutefois y exceller , et s spécialisèrent dans le maniement des armes. Les plus talentueux des guerriers avaient compris que la technique et un bon équipement étaient préférables.L'un d'eux : Densel prit la tete de l'ordre et de ses jours les peuples guerriers étaient connus comme l'ordre des chevaliers.
Partie 1 : et comment les chevaliers devinrent paladins.
Cependant Densel avait gardé les défauts de ses ancetres et était plutot belliqueux , il découvrit alors les territoires à l'Est du continent mais il y rencontra un obstacle auquel il n'était pas préparé. Alors que jamais ses guerriers n'avaient failli à conquérir des territoires il furent repoussé par une force étrange au pied meme d'une Grande tour cristaline.
A cet instant meme venait de s'éveiller l'ordre des magiciens et le maitre des arcanes avait vaincu le fer de ses guerriers par une force inconnue d'une terrible puissance. Suite à cet échec les chevaliers retournèrent sur leur terres et céssèrent leur conquetes , ils profitèrent de ces temps pour établir des places fortes et organiser des défenses pret de leur frontières. Ne trouvant aucun moyen de s'opposer à cette force qui les avait défait Densel se retira de l'ordre et Darellon prit sa place. Il se rendit alors sur les terres des Mages pour négocier avec elle :
Arrivé devant la tour Darellon resta ébahi devant la beauté du batiment , les récits laissés par son prédécésseur parlaient d'une tour sombre et ternie et d'une vallée triste et inhabitée ... mais la réalité était tout autre ... Il fut alors acceuilli par le maitre des arcanes en personne au sommet de la tour.
-" Soyez le bienvenu sur les terres des mages , que me vaut votre visite ? " fit elle simplement.
-" Eh bien je suis le nouveau dirigeant des chevaliers ... Densel que vous avez du rencontrer a quitté l'ordre je venais vous en informer , de plus je tenais à vous rencontrer personnellement. "
Le maitre des arcanes paraissait étonnée mais n'en laissa rien paraitre :
-" Eh bien voila qui est fait !" fit elle en souriant , puis elle ajouta :
- " J'espère que vous etes moins borné que votre prédécésseur , je n'aime pas négocier par la force mais il y a des fois ou l'on a guère le choix ... "
- " En tant que dirigant c'est une chose que je peux difficilement ignorer " répondit il simplement.
Elle hésita un instant puis décida de se lançer ... elle semblait croire qu'elle pouvait faire confiance au chevalier :
-" Pour tout vous dire nous avons en ce moment meme des soucis du coté de nos frontières Nord ..."
- " je vois ... aussi puissante que soit votre magie sans des personnes maniant l'épée pour les protéger vos mages restent vulnérables ... "
Une idée venait alors de germer dans l'esprit de Darellon , si les chevaliers pouvaient accéder à cette magie et ainsi devenir polyvalents ils en seraient bien plus redoutables !
- " Eh bien meme si cela me gene de l'avouer il y a du vrai dans ce que vous dites ... " Darellon sauta sur l'occasion :
- " Je suppose que vous avez déja pensé à former vos mages au combat mais il ne me semblent pas apte à manier correctement des armes ... mes chevaliers eux savent les manier correctement ... mais nous ne sommes pas des barbares nous sommes capable d'apprendre ...au moins les bases ... acceptez de former les chevaliers à votre magie et nous vous soutiendrons ! "
Le maitre de la Tour sourit devant l'audace de la proposition de Darellon mais l'idée n'était pas pour lui déplaire , elle répondit toutefoispar la négative :
- " Seigneur Chevalier , la magie est un art difficile et dangereux ; seul une personne versé dans cet art peut l'utiliser sans se mettre en danger ou causer des dégats innatendus ... De plus quand bien meme il serait possible de former vos chevaliers je n'aurais aucune garantie de votre soutien ... si vous vous retournez contre nous pour une raison ou une autre nous n'aurons plus cet avantage qui garantit notre indépendance ... "
La discussion fut longue mais apres avoir longtemps argumenté il fut convenu que les mages enverraient quelques un des leurs en tant que precepteur dans des bastions des chevaliers pour leur apprendre la magie , seulement un limite avait été imposée : seule la magie de la lumière leur serait accessible ! En échange un bataillon complet de chevaliers fut envoyé pour protéger la frontière Nord des Mages , ils n'attaqueraient pas leurs adversaires mais formeraient un cercle protecteur autur des mages.
L'ordre des chevaliers fut alors renommé : les premiers paladins n'allaient pas tarder à rejoindre les champs de bataille des Royaumes perdus !
Partie 2 : Comment Alenor accéda à la magie noireet brisa l'allianc avec les Mages.
Plusieurs dirigeants avaient succédés à Darellon et les Paladins avaient fait leur preuves au combat. Alenor fut le dirigeant des Paladins le plus talentueux en Magie depuis leur création , il dépassait de loin les compétences de base enseignées aux jeunes recrues et pour cause , il était tombé amoureux de la préceptrice du bastion ou il avait été formé et celle ci avait prolongé sa formation allant à l'encontre de l'accord autrefois passé entre les mageset les chevaliers.
Mais ce qu'elle n'avait pas réalisé était que sa soif de connaissances magiques qui était en fait une soif de puissance finit par dépasser son amour pour elle. S'il avait autrefois été sincère tout ce qui comptait pour lui à présent était d'acquérir des sorts toujours plus puissants. Alenor avait réalisé la grand potentiel de la magie mais en oubliait les dangers et négilgeait les conséquences négatives , il arrivait à lançer de puissants sorts mais ne comprenait pas le fonctionnement de la magie elle meme ! Lorsque sa dulcinée réalisa le danger il était déja trop tard , il avait acquis un niveau égal aux mages dans de nombreux domaines mis à part celui des ténèbres. Elle refusa alors de lui en apprendre plus et il entra dans une rage telle qu'il la défia dans un duel de magie. Ele fut étonné de sa puissance elel comprenait maintenant qu'il avait du avoir acces à d'autres sources car il lui fallut utiliser sa pleine puissance pour le vaincre , au bord des larmes et du désespoir elle dut se résoudre à sceller sa magie , un sort tres puissant et tres difficile ... si difficile qu'elle y laissa la vie !
Lorsqu'alenor se réveilla il trouva le corps de sa protégée à ses cotés , il comprit alors ce qu'il s'était passé et pleura toutes les larmes de son corps ... mais le mal était fait ...
Le maitre des arcanes de l'époque apprit ce qu'il s'était passé et se rendit au Bastion principal à Marista pour rencontrer Elanor. Sa colère était grande mais quand elle vit sa détresse l'envie de le tuer disparut. Elle annonça tout de meme les résolutions qu'elle avait prise , les choses étaient allées trop loin , il était temps d'y mettre un terme.
Les instructrices des bastions furent rappelées à la tour et l'alliance rompue , désormais les 2 ordres resteraient totalement indépendants.
Alenor bien que totalement détruit moralement compris que son comportement allait coute aux paladins la perte de leur magie ... et il était bien plaçé pour le savoir sans elle les paladins redevenaient de simples chevaliers ... Il prit alors sur lui de former 4 maitres de magie auxquels il donna une base solide mais limitée à la magie blanche ... ses 4 maitres de magie serianet chargés à leur tour de former des précepteurs qui prendraient la place des instructrices dans les bastions des paladins. Ainsi leur magie ne périrait pas ! Alenor mit ensuite fin à ses jours apres avoir mis par ecrit tout son savoir magique et l'avoir confié aux maitres de magie.
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| | | Tynian
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| Sujet: Re: Concours [récit] n°1 : Récits Jeu 26 Avr - 12:30 | |
| Réçit N°4 : Background Rodeurs.
Les Rôdeurs… Un nom qui évoque beaucoup de chose pour les anciens. Malheureusement, très peu aujourd’hui savent encore avec exactitude ce qui c’est passé il y a quelques siècles, lorsque ce peuple s’est réellement formé. Si vous posez la question à un vieux, il vous répondra un truc dans le genre de ceci :
« Tout a commencé par une nuit sans lune, dans l’obscurité la plus totale. Il y avait en ce temps là un jeune homme nommé Toël, qui devait avoir dix-huit ou même… dix sept ans voir peut-être… seize, qui vivait dans un banal petit village, dans la forêt d’Altia. Ce gamin-là était une vraie tête. Et en plus d’être particulièrement intelligent, son père l’avait formé pour faire de ce gars un véritable guerrier. Bien qu’il n’était pas une montagne de muscle infranchissable, il avait tout pour lui. A l’époque, la forêt était divisée entre divers petits baronnets. Le village de Toël était dans la propriété du plus gros (dans les deux sens ; joufflu et puissant) baron de la zone. Le baron se nommait Julien Stamdbaïrh, et son domaine ne lui suffisait pas. Il désirait toujours plus et la été son plus gros défaut. Stamdbaïrh recrutait donc les hommes valeureux pour en faire des commandants dans son armée, ou des soldats esclaves, si ils refusaient de lui obéir. Donc, cette nuit sans lune, des hommes du baron avaient été envoyés en mission pour obliger Toël à rejoindre l’armée. Celui-ci refusa. L’un des gardes présents voulu l’obliger par la force. Un combat s’engagea. Toël se saisit d’un couteau dans la cuisine, et, protégeant avant tout sa famille, commença à se battre. Au petit matin, les quelques hommes qui étaient venus étaient tous morts. Quand le baronnet l’apprit, il lança un avis de recherche sur ‘le dangereux assassin Toël’. Celui-ci fut contraint de quitter sa terre natale pour une vie de fuite et d’exile. Il erra longtemps dans la forêt, évitant du mieux qu’il pouvait les hommes des différents dirigeants de l’endroit, pour ne pas avoir de confrontations physiques. Il vivait de la nature et respectait celle-ci. Mais il ne pu rester éternellement dans la forêt, ses ennemis (tout comme ses amis…) étaient trop proches. Il quitta donc la forêt, croyant ne jamais revenir. Mais il eut une dernière aventure avant de quitter les bois. Un loup se présenta à lui. Comme ça, pouf. En pleine forêt, un loup, qui déboule devant un homme, entre deux arbres. Toël crut qu’il allait l’attaquer, mais pas du tout. Le loup le regarda dans les yeux, et sembla presque parler pour dire ces quelques paroles ; ‘Je t’ai observé, tu es un homme qui me convient. Dorénavant, je serai toi, tu seras moi.’ Le loup semblait être en fin de vie, et il disparu en poussière, dans un phénomène plus qu’étrange. Toël s’écroula au sol, et, en se réveillant, il était un loup. Un loup. Il paniqua, et sans comprendre comment, il redevint un homme. Le tout premier métamorphe. Après quelques temps, il apprit à maîtriser parfaitement son don, et il devint encore plus puissant qu’avant. Il quitta donc la forêt peu après, se sentant invincible. Il parcourut la terre, apprenant chaque culture de chaque pays par cœur. De nombreux vagabonds se joignirent à lui au fur et à mesure de ses voyages. Des vagabonds, dont une certaine Esméralda. Toël et elle tombèrent amoureux, et eurent bien vite un enfant. Enfant qui avait le don de, lui aussi, se transformer en animal. En quelques années, Toël avait sous ses ordre une vraie armée formée de brigands et de nomades. Les dirigeants des peuples l’apprirent bien vite, et eurent tôt fait de mettre un nom sur cette armée indépendante ; les Rôdeurs.
Quand Toël décida de revenir à Altia, il décida aussi de reconquérir toute la forêt, pour que son armée puisse s’y poser et que Alita devienne un lieu de paix et où il fait bon vivre. La guerre ne dura que trois jours. L’armée des rôdeurs fut ensuite dissoute et elle devint plus un Ordre de Guerriers disséminés à travers le monde, souvent animorphes, et bien entraînés… » | |
| | | Tynian
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| Sujet: Re: Concours [récit] n°1 : Récits Jeu 26 Avr - 12:34 | |
| Réçit N°5 : Background Druides.
Une grande elfe au teint pâle et aux cheveux bleus se leva de son bureau avec un soupir. Encore l’un de ces longs après-midi où elle n’avait rien d’intéressant à faire, condamnée à observer les autres… Dans un mouvement las, elle attrapa quatre rouleaux de parchemin sur une étagère et retourna s’asseoir dans un fauteuil. Elle déroula le premier et commença sa lecture.
« Je me nomme Aaron, Haut-Scribe d’Ephraël. Mon travail n’est autre que de suivre le Haut-Druide pendant son règne et de raconter sa vie si étroitement liée à celle de la cité… J’espère remplir cette fonction avec talent. Voici donc les annales d’Ephraël.
Les premières années de sa longue vie, Scylla ne jugea pas utile de me les raconter. Aussi commencerai-je ce récit à l’aube de ses dix-neuf ans. Comme il était de coutume dans son petit village de la chaine Olyste, Scylla dû, le jour de son anniversaire, partir pour un rite d’initiation. Celui-ci était, somme toute, tout ce qu’il y a de plus facile à comprendre… Mais un peu moins à réaliser : Les jeunes hommes étaient lâchés dans la campagne environnante pendant deux mois et devaient pouvoir y survivre sans recevoir l’aide de qui que ce soit. A l’issue de ce rite, le garçon était considéré comme un homme et pouvait prétendre à une femme et une famille.
Le jeune Scylla était enthousiaste à l’idée de faire ses preuves et, durant le premier mois, il se débrouilla même très bien. Seulement, la nourriture commença à manquer sur le petit bout de territoire qu’il s’était approprié et, à l’aube du quarante-deuxième jour, il décida de se déplacer et de descendre des montagnes.
En arrivant dans la plaine, il fut d’abord ébloui par la grandeur du ciel… Mais le fait qu’il était assoiffé le ramena rapidement à la réalité. Trop faible, il ne pouvait utiliser son contrôle sur l’eau pour se procurer à boire… Aussi décida-t-il de marcher vers une colline dont le sommet semblait étinceler. De l’eau, pensa-t-il. Mais plus il avançait, plus ce scintillement lui semblait anormal…
Il du attendre d’être au sommet de la colline boisée pour comprendre son erreur.
Sur cette colline, deux esprits terriblement puissants s’affrontaient par magie et les sorts fusaient au-dessus de la tête du pauvre Scylla.
Plus tard, il les identifia comme Hikari et Séluné en personne… Mais cela ne l’empêcha pas d’être gravement touché par la fureur des esprits. Il se réveilla plusieurs heures plus tard, le corps engourdi et seul au milieu d’un grand cratère fumant.
Comme on peut s’en douter, cette confrontation ne resta pas sans conséquence et est à l’origine de la fondation de notre ville car le jeune homme se sentit investi d’une mission… Construire un sanctuaire en l’honneur de ces deux esprits. Deux esprits qui, par mégarde, lui avait également conféré une faculté connue, certes, mais pas encore totalement exploitée… La connaissance des potions. Depuis son réveil, Scylla était capable de confectionner n’importe quelle potion. Inspiration divine ?
Toujours est-il qu’il se mit à construire son sanctuaire avec l’aide de plusieurs villages. De marbre blanc et de bois, le grand bâtiment fascinait et, bientôt, les gens souhaitant recevoir l’instruction de Scylla vinrent s’installer aux alentours du sanctuaire.
C’est ainsi que naquirent les Druides, mélangeant toutes races de tout âge dans le mur d’enceinte qui fut bâti deux siècles après la construction du temple. En effet, la ville prit de l’ampleur et fut nommée Ephraël par son fondateur, Scylla, qui était désormais un humain de plus de deux siècles.
Evidemment, il finit par mourir… Mais avant cela, il confia le titre de Haut-Druide à Hianwe, l’un des Elfes qui m’avaient suivi auprès de Scylla. Nous avions grandi ensemble et je savais que mon vieil ami était tout à fait capable de gouverner.
Pendant quelques décennies, Hianwe régna équitablement sur le peuple des Druides, le talent se transmettant désormais lors de grands conciliabules dans les salles de marbre blanc du sanctuaire de Séluné et Hikari. Mais bientôt, une nouvelle maîtrise fit son apparition dans l’art des potions. Il s’agissait de Potions Noires qui, pour la plupart, ne servaient qu’à faire souffrir, à tuer, ou tout autres activités perverses. Ceux qui la pratiquaient se faisaient appeler les Druides Noirs et, très vite, on trouva leurs potions sur la plupart des marchés du pays.
Il fallut deux décennies à Hianwe pour trouver le point faible des ces druides corrompus. Complètement plongés dans leurs chaudrons, ces hommes, pour la plupart, étaient incapables de tenir une arme correctement.
A cette époque, Ephraël possédait encore une petite armée combative et cette dernière provoqua un combat avec les Druides Noirs en pleine ville. La petite guerre interne atteint bientôt le sanctuaire et c’est là que deux druides, chacun souhaitant détruire l’autre, lancèrent une potion sur leur adversaire. Ces potions entrèrent en contact et une puissante déflagration secoua la ville. Quand les combattants et les habitants se réveillèrent, tous les Druides noirs avaient été exterminés et, au grand étonnement de chacun, le marbre blanc du sanctuaire était zébré de filament noir brillant.
A ma connaissance, ce fut le seul évènement notoire sous la royauté de Hianwe. Son règne se passa ensuite très calmement et les Druides ne quittèrent plus le droit chemin sauf quelques exceptions.
Ensemble, nous vieillissions avec la ville et nous vîmes des générations de jeunes druides mourir avec leur temps. Et nous restions, immuables, jusqu’à ce que Hianwe apprennent des autres chefs de duchés qu’un roi des Ténèbres se levait au nord. Depuis peu, une silhouette fine suivait mon vieil ami Hianwe dans chacun de ses déplacements et ensemble, ils décidèrent de la meilleure solution pour les Druides. Cette silhouette fine se nommait Eliane et elle était la protégée du Haut-Druide.
Quand le moment fut venu, Eliane mena le peuple des Druides vers la ville de Marista, fuyant devant les troupes du Roi noir. Derrière eux, ils laissaient Hianwe qui menait une petite centaine de Druides combattants pour retarder leurs ennemis. Ils étaient condamnés…
Plus tard, quand la guerre fut enfin terminée, les Druides revinrent à Ephraël. La ville avait été en partie détruite et seul le sanctuaire était encore en parfait état. Tout comme moi, les autres Druides choisirent de nommer Eliane à la place de Hianwe qui avait disparu.
J’avais perdu de nombreux amis pendant cette guerre… Mais mon travail n’était pas terminé. Je sentais venir de nouveaux évènements marquants pour notre monde et je décidais donc de rester auprès des miens et de consigner cette histoire qui fait l’âme de mon peuple.
Aaron, Haut-Scribe d’Ephraël »
La jeune Elfe avait replié ses jambes sous elle durant la lecture et elle reposa les quatre parchemins sur une petite table à côté d’elle. Aaron ne s’était pas trompé… De nouveaux évènements marquants allaient bel et bien se produirent… D’ailleurs, le vieil Aaron était toujours là, sûrement dans la pièce d’à côté. Chaque jour, il prenait de nouvelles notes et Eliane se demanda si, lors d’un après-midi ennuyant, un prochain Haut-Druide d’Ephraël prendrait une pile de six parchemins et lirait cette même histoire agrémentée de la suite… | |
| | | Tynian
Nombre de messages : 136 Age : 38 Classe : Chevalier Noir Date d'inscription : 09/02/2007
Feuille de personnage Points de Vie: (176/190) Points de Mana (magie): (170/220) Sorts:
| Sujet: Re: Concours [récit] n°1 : Récits Jeu 26 Avr - 12:36 | |
| Réçit N°6 : Background Voleurs.
Erol, c’était le nom de ce jeune orphelin. Il avait quoi ? 15, 16 ans à peine. Mais il était là, vivant alors que la guerre régnait dans les contrées les plus proches. Pourquoi ? Qu’est-ce qui incitait les autres à se battre ? Pourquoi la guerre était-elle toujours présente ? Il ne le savait pas. Et comment aurait-il pu le savoir ? Il était orphelin après tout. Et orphelin veut bien dire seul.
Il marchait sur un champ de bataille, ou du moins, ce qu’il en restait. Des cadavres à perte de vue et une poussière de sable formait un brouillard qui troublait sa vue. Il avait du mal à avancer, la chaleur l’oppressait et ses genoux imploraient le repos. Ses bras maigres commençaient aussi à trembler. Erol avait faim, il allait mourir de faim si ça continuait. Mais sa volonté de vivre était inébranlable. Bien que personne n’attende son retour nulle part cela n’était pas une raison pour se laisser aller ! Il vivrait coûte que coûte ! Il avait envie de vivre ! Il ne voulait pas mourir! Il n’avait même pas l’âge adulte, il avait tant de choses à découvrir ! Cette volonté de vivre était sa plus grande qualité.
Alors qu’il allait laisser son corps s’écrouler au sol, une main le retint. Il leva les yeux mais à peine eut-il le temps de comprendre qu’une jeune femme était devant lui qu’il s’évanouit.
A son réveil, il se vit dans un lit, ses vêtements n’étaient plus ses guenilles sales et poussiéreuses. Que s’était-il passé ? Il commença à se lever.
« Tu t’es enfin réveillé. »
Il la reconnue tout de suite, ce visage qu’il avait vu flou la première fois, il était sûr que c’était la jeune demoiselle qui l’avait rattrapé avant qu’il ne perde connaissance.
« Repose-toi, et ne t’en fais pas, tu es ici chez toi. Je me suis permise de te changer et de jeter tes anciens vêtements. Je te prêterais les habits de mes frères, l’un d’eux semble faire la même taille que toi. - Qui es-tu ?, il avait une voix grave mais douce pour un jeune homme. - Andreynine, j’ai 15 ans. - Où sommes-nous ? - Dans le col de la Chaîne Olyste. - Pourquoi m’avoir sauvé ? »
Erol avait l’habitude d’être direct, il n’avait pas le temps de passer par quatre chemins, sans compter qu’il n’en voyait pas l’intérêt. Même s’il semblait plus agresser les gens avec son ton distant et ses yeux menaçants de nature.
« Et bien, vois-tu… heu… - Erol, c’est mon nom. - Et bien, Erol, je ne pouvais me résoudre à te laisser agonisant devant moi. Je t’ai emmené, soigné et nourrit alors que tu étais presque inconscient. - Si tu m’as sauvé c’est que tu attends quelque chose de moi. - Faut-il vraiment une raison pour sauver son prochain ? »
Cette Audreynine n’avait pas l’air de comprendre ce jeune garçon et il préféra ne pas continuer leur conversation, il replongea dans le lit et se reposa.
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Trois années passèrent comme le sable coulant vers le bas d’un sablier. Audreynine et Erol vivaient toujours dans les Chaîne Olyste, mais depuis le jeune homme avait appris à se battre à l’aide de deux épées qu’il s’était forgé dans du bois. Il s’était aussi entraîner à courir le plus rapidement possible et s’amusait à défier les différents animaux aux alentours.
Cette envie de devenir plus fort lui était venue lorsqu’il avait vu Audreynine en danger. Peu de temps après leur rencontre, elle était devenue la proie d’une Harpie qui l’aurait tuée si Erol n’était pas intervenu. Mais à cette époque il avait eu de la chance, il avait seulement pu sauver et fuir avec la jeune fille. Après de nombreux entraînements qu’il avait suivit seul il était parti retrouver la fameuse Harpie et lui avait fait payer le prix fort pour son acte. Peut-être même lui avait fait-il plus payé qu’elle ne le devait.
Erol avait remarqué que depuis un an, les créatures de la forêt Altia se multipliaient étrangement vite et se dirigeaient souvent en leur direction. Ce n’était qu’une question de temps après tout, ils allaient venir ici c’était certain. Ils détruiraient tout sur leur passage, et à ce moment que ferait Erol ? Sauverait-il le peu d’habitants qui vivait si paisiblement ou se sauverait-il en emportant avec lui sa force et son savoir ?
Tant de question dont Erol ne voulait pas se préoccuper. Seulement, il avait raison, les monstres commençaient à venir par masse, comme s’ils avaient préparé leur attaque depuis bien longtemps. Le village se mourrait à petit feu et Erol était toujours dans la maison de bois d’Audreynine. Cette dernière dormait. Devrait-il lui annoncer qu’elle allait mourir ? Vu le nombre de monstres, le village serait réduit en poussière d’ici une demie heure et personne ne pourrait les en empêcher.
Laissant ses deux poignards de bois dans leur cuisine, il s’approcha d’Audreynine et l’embrassa comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Comme si c’était la dernière fois qu’il le ferait, comme s’il ressentait beaucoup de sentiments pour elle. Elle s’éveilla, surprise de le voir exprimer ainsi ce qu’il ressentait. Durant ce court temps qu’il leur était accordé, Erol qui lui avait déjà volé son premier baiser, lui vola sa virginité, sa vie et tous les biens dont elle disposait. Car jamais il ne laisserait ces abominations prendre la vie de la personne qui avait sauvé la sienne.
Une fois son œuvre accomplie il sortit et se jeta sur les monstres comme si la mort ne l’effrayait pas et qu’il la défiait. Quelle était cette immense douleur qui brûlait son cœur ? Pourquoi la haine était-elle tant encrée en lui, qu’est-ce qui le poussait à vouloir les détruire jusqu’au dernier ? Des larmes apparurent et ruisselèrent le long de ses joues puis ses armes en main, il trancha tout ce qui avait le malheur de se trouver sur son passage. Qu’importe d’où venait cette immense peine, il était persuadé qu’en se battant de toute son âme, sa douleur s’évaporerait. Alors il frappa, trancha, sauta, esquiva et trancha encore et encore plus de chaire. Finalement, il se retrouva seul au milieu de cadavres qu’il avait déchiquetés comme s’ils n’étaient que de vulgaires morceaux de viande. Il ne su pourquoi mais sa souffrance était toujours présente, peut-être était-ce parce qu’il se retrouvait de nouveau seul.
Plus jamais, il jura que plus jamais il ne ressentirait une pareille tristesse, une mélancolie si bien enfoncée dans son âme qu’il était certain qu’elle ne partirait pas avant que l’éternité s’achève. Ainsi, désormais et pour le malheur des autres, il ne s’attacherait plus et vivrait uniquement pour lui, laissant l’espoir qu’il portait mourir au plus profond de son être.
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Il avait maintenant une vingtaine d’année, c'est-à-dire que deux années avaient passé depuis l’incident des Chaîne Olyste. Devenu plus fort mentalement et physiquement, il maniait désormais ses deux poignards comme personne. Il était vagabond mais certaines contrées le voyaient comme un hors-la-loi puisque pour se nourrir il volait tout ce qu’il jugeait nécessaire à sa survie ou simplement parce qu’il les aimait. Mieux valait ne pas se balader avec des objets qui étaient susceptible d’inciter le désir chez lui. En fait, que ce soit du matériel ou des femmes, il prenait ce qu’il désirait, par impulsion. Il était connu des Paladins et même des Barbares pour leur avoir tenu tête parfois ou encore les avoir dépouillés de leurs bien tous plus précieux les uns que les autres. Jamais on ne l’avait attrapé, il arrivait toujours à se sortir de n’importe quelle situation, comme l’eau que l’on essai sans cesse de capturer avec sa main mais qui coule des creux que laissent nos doigts.
En fait, pour dire vrai, le royaume entier le connaissait plus ou moins, mais seulement de nom. Personne ne pouvait le décrire physiquement, il se cachait toujours sous une nouvelle apparence ou portait une cagoule voire un masque. En plus d’être excellent dans l’art de prendre aux autres ce qui ne lui appartenait pas, il était un très bon espion. Autant de qualités que le monde entier déplorait.
Il était maintenant sur les terres Artésiennes. Personne ne vivait ici à première vu mais les monstres avaient envahit ce territoire. Mais plus pour longtemps, Erol baissa légèrement le morceau de cape qui recouvrait sa bouche pour laisser un sourire satisfait apparaître. Et sans plus attendre il commença son génocide bestiaire. Le sang coulait à flot et l’éclaboussait de temps en temps mais il y était habitué. Durant ces deux années il n’avait pas perdu son temps, il avait acquis une dextérité, des réflexes ainsi qu’une froideur sans égal à l’égard de ses adversaires. Il n’était pas un surhomme, non, il était simplement doué au combats car peu de personnes pouvaient l’égaler au niveau de l’esquive. Tout comme des êtres manipulaient les forces divines autrement connues sous le simple nom de « magie ».
Voilà, une fois de plus il réduit à néant une armée de monstres mais pas aussi facilement que cela paraissait. Son bras droit n’était plus utilisable pour le moment et sa cheville gauche lui faisait mal. Il monta alors, sur le haut de la colline pour regarder cette étendue de verdure que formait Artésie. Puis, des hommes sortirent des buissons ainsi que des arbres. Ils lui expliquèrent qu’ils avaient entendu parler d’un vagabond téméraire qui était libre comme le vent et dont les desseins étaient inconnus. Ils sortirent tous quelques objets de valeurs et il comprit. Il n’était pas seul. D’autres personnes avaient les mêmes capacités que lui. Ces quelques personnes le prirent pour dirigeant, il parait qu’il en avait l’étoffe. Il prit ce qu’on lui donna, il devint donc dirigeant des terres Artésiennes et fut ainsi renommé, Sorrow. Il devint un dirigeant qui ne vivait que pour enrichir sa patrie et veiller à ce que son royaume prospère. Peu importait les moyens, la faim justifie les moyens, voilà quelle était la vertu de ce peuple.
Et en quelque années à peine, les voleurs devinrent une population aussi nombreuse que les Druides ou encore les Chevaliers Pégase. Ils étaient tellement doués et déterminés qu’un bon nombre d’entre eux devinrent, Espions, Ninjas, Assassins, Maîtres de l’Ombre ou encore Nécromanciens.
Le dirigeant nomma deux Capitaines pour chaque catégorie et un sous-capitaines pour chacun d’entre eux. Il donnait des ordres aux Capitaines qui faisaient en sorte que les ordres soient exécutés, le dirigeant ne s’adressait quasiment jamais aux subordonnés autres que ses Capitaines. Il prit un disciple auquel il laisserait ses rennes lorsque son heure sera venue. Car seul les disciples des Dirigeant peuvent espérer accéder au « trône ». Depuis, Artésie fut dirigée de cette manière, agrandissant ses fortunes et faisant d’elle un peuple unit ne vivant que pour lui-même.
Pourtant la cupidité peut avoir raison de l’homme, c’est pourquoi un des dirigeants succomba à la tentation et tenta de dérober l’une des Pierres Sacrés. Malheureusement pour lui l’Archimage le retrouva et lui fit passer l’envie de recommencer. Elle lui infligea un châtiment encore plus effroyable que la mort elle-même : elle l’envoya sur l’île Maudite. C’est ainsi qu’une jeune Assassin prit la place de celui-ci. Bien qu’il lui ait enseigné qu’elle ne devait avoir confiance en personne, cet évènement la chagrina un peu tout de même. Mais ce n’est pas ça qui allait l’empêcher de diriger Artésie comme il se doit. Elle est prête à tout pour son peuple, peut-être avez-vous déjà entendu parler d’elle, elle se nommerait Lullaby… | |
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